Ăcrans & TV Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s 4 minutes Ă lire PubliĂ© le 09/04/22 Partager ĂrigĂ© en 1905, dĂ©truit par les Allemands en 1944, le pont transbordeur reliait les deux quais du Vieux-Port, Ă Marseille. Photo Limot/Rue des archives Du Vieux-Port aux quartiers nord, entre histoire et urbanisme, Marseille fait lâobjet dâune saga amoureuse enrichie de nombreuses archives, signĂ©e Hugues Nancy. Le rĂ©alisateur nous en offre ici la visite privĂ©e. La planĂšte Mars » cĂŽtĂ© soleil, mais aussi cĂŽtĂ© ombre. Marseille se dĂ©voile dans une vibrante fresque tout en archives colorĂ©es, oĂč dĂ©filent les bouleversements qui ont modelĂ© le visage de la plus vieille ville de France. Du Vieux-Port aux quartiers nord, entre histoire et urbanisme, promenade illustrĂ©e avec le rĂ©alisateur Hugues Nancy. Le Vieux-Port, la calanque originelle Marseille est nĂ©e au creux dâune calanque, lĂ oĂč se situe le Vieux-Port. Câest dans cette Ă©chancrure cĂŽtiĂšre, abritĂ©e des vents violents et entourĂ©e de montagnes, que les PhocĂ©ens se sont installĂ©s, il y a deux mille six cents ans, et que se sont dĂ©veloppĂ©es la ville antique, puis la ville mĂ©diĂ©vale. Pendant des siĂšcles, la vie sâest concentrĂ©e lĂ , autour de lâactivitĂ© portuaire. JusquâĂ ce que la rĂ©volution industrielle oblige Ă la construction dâun nouveau port, sur une quinzaine de kilomĂštres vers le nord, de lâanse de la Joliette jusquâĂ lâEstaque. Le port dâorigine est alors devenu le Vieux-Port ». Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement DĂ©sabonnement simple DĂ©jĂ abonnĂ© ? Je me connecte DĂ©couvrir toutes nos offres documentaire Marseille France TĂ©lĂ©visions Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rĂ©daction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dĂ©pĂŽt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicitĂ© personnalisĂ©e. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rĂ©daction et l'ensemble des mĂ©tiers de TĂ©lĂ©rama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complĂšte, un suivi de l'actualitĂ© culturelle, des enquĂȘtes, des entretiens, des reportages, des vidĂ©os, des services, des Ă©vĂšnements... QualitĂ©, fiabilitĂ© et indĂ©pendance en sont les maĂźtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidĂ©litĂ© de nos abonnĂ©s est essentiel. Nous vous invitons Ă rejoindre Ă votre tour cette communautĂ© en vous abonnant Ă TĂ©lĂ©rama. Merci, et Ă bientĂŽt. Sâabonner
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Letexte littéraire (document A) L'Armée des Ombres est un roman de Joseph Kessel, grand reporter de presse et romancier. AprÚs la défaite de 1940, parvenu à Londres, il s'engage dans les Forces Françaises Libres. Fin 1943, il finit de rédiger L'Armée des Ombres en s'appuyant sur des témoignages de résistants.
Mon compte Login Register Search Login Register AccueilCinĂ©maPublicitĂ©Documents Search Accueil / CinĂ©ma / Affiches / Affiche â VIEUX DE LA VIEILLE les â 36x56cmObservation Casier Belge CatĂ©gorie AffichesAffiche â VIEUX DE LA VIEILLE les â 36x56cmId Stock 4886350,00âŹEn stockQuantityquantitĂ© de Affiche - VIEUX DE LA VIEILLE les - 36x56cm DescriptionTitre original VIEUX DE LA VIEILLE lesId stock 48863InformationsAnnĂ©e 1960NationalitĂ© film FrançaiseInterpretes Andre DALIBERT, Jean GABIN, Mona GOYA, NOEL-NOEL, Pierre FRESNAY, Yvette ETIEVANTFormat 36x56cmNationalitĂ© Produit BelgeEtat FR Affiche originale, excellent Ă©tat MenuAccueilCinĂ©maPublicitĂ©Documents
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Thriller Horreur | 1h37min. Note de la rĂ©daction : 4.5/10. 4.5. Note des spectateurs : Conçu comme un hommage au cinĂ©ma bis, Les prĂ©dateurs de la nuit, fantasme cinĂ©matographique de RenĂ© Chateau, est une Ćuvre foutraque au casting hĂ©tĂ©rogĂšne qui bĂ©nĂ©ficie toutefois dâun rythme soutenu et dâune rĂ©alisation soignĂ©e.
Vous nâavez aucune envie de fĂȘter la Saint-Valentin au restaurant ? VoilĂ quelques films disponibles sur Netflix qui devraient vous faire frĂ©tiller le clito, seule ou avec votre partenaire, pour cĂ©lĂ©brer lâamour Ă votre maniĂšre ! Article mis Ă jour le 14 fĂ©vrier 2022 La dure rĂ©alitĂ© de lâexistence, câest que parfois on a la flemme de faire frotti-frotta. Entre une partie de sexe endiablĂ©e ou LâArnaqueur de Tinder sur Netflix, le choix est souvent vite vu. Toutefois, lâenvie de copuler peut justement monter par le biais de cette fameuse plateforme et des contenus quâelle hĂ©berge. VoilĂ donc 6 films plein dâĂ©motions on vous a Ă©pargnĂ© la recette sexy problĂ©matique de 365 DNI et autres Fifty Shades qui vont faire monter la tempĂ©rature sous votre couette, quâelle contienne une personne, dix potes, ou juste vos mains dĂ©licates. Ăa tombe bien, câest la Saint Valentin. Newness, de Drake Doremus En 2011 sortait Like Crazy, une comĂ©die dramatique de Drake Doremus qui explorait les tumultes dâune jeune relation amoureuse. Avec la mĂȘme recette, le cinĂ©aste est revenu 2018 muni dâune nouvelle proposition. Il sâagit toujours dâamour. Seulement, cette fois-ci, il est libre ». Nicholas Hoult et Laia Costa campent deux jeunes amants qui trĂšs vite tombent amoureux. Sans beaucoup y rĂ©flĂ©chir, ils passent un cap et sâinstallent ensemble. Seulement, leurs vieilles habitudes reviennent au galop le couple se met de nouveau sur des applis de rencontre, Ă la recherche dâun frisson nouveau. Ce qui aurait pu virer au drame finit par plaire au duo. Câest dĂ©cidĂ©, ils auront dĂ©sormais le droit dâaller voir ailleurs. Une seule condition lâhonnĂȘtetĂ©. Elle couche avec un homme plus ĂągĂ©, lui drague des meufs en soirĂ©e. Telle est dĂ©sormais leur vie. Mais câĂ©tait sans compter sur les non-dits, qui arrivent lentement, et parasitent le contrat initial⊠Avec beaucoup dâintelligence, Drake Doremus pose son regard sur les amours qui naissent puis meurent. Sans complaisance ni misĂ©rabilisme, il nous susurre Ă lâoreille quâessayer est le meilleur moyen de savoir ce que lâon veut, et ce quâon ne veut surtout pas. Et il nous rassure tout seul, comme Ă deux ou Ă trois, on a le droit de sâennuyer ! OK, ce pitch est pas hyper sexy sur le papier. Mais attendez dâappuyer sur Play⊠Regarder Newness sur Netflix Elisa Y Marcela, de Isabel Coixet Il est rare que lâon parle des romances ibĂ©riques, pourtant les Espagnols et Espagnoles ne sont pas les derniers quand il sâagit de faire appel aux grands sentiments. La preuve avec le tout dĂ©licat mais nĂ©anmoins sexy Elisa y Marcela, de la rĂ©alisatrice Isabel Coixet, qui sâinspire dâune histoire vraie. Celle dâune Galicienne prĂ©nommĂ©e Elisa Sanchez Loriga qui se fait passer pour un homme afin dâĂ©pouser celle quâelle aime Ă la folie = Marcela Gracia Ibeas. Un film lui aussi trop mĂ©connu et qui mĂ©riterait pourtant toute lâattention du public â au mĂȘme titre quâil sâest attirĂ© les faveurs de plusieurs grands festivals, parmi lesquels la Berlinale oĂč il a Ă©tĂ© nommĂ© pour lâOurs dâor sâil vous plaĂźt, le Grand prix du jury, et lâOurs dâargent du meilleur rĂ©alisateur. On vous le conseille de tout notre cĆur. AprĂšs tout, nâest-ce pas le jour idĂ©al pour le regarder ? Voir Elisa y Marcela sur Netflix Ton nom en plein cĆur de Kuang-Hui Liu Kuang-Hui Liu, un cinĂ©aste taĂŻwanais qui fait des romances compliquĂ©es sa spĂ©cialitĂ©, raconte dans Ton nom en plein cĆur la passion furieuse qui unit Jia-han et Birdy. Jia-han et Birdy sont deux garçons qui, en 1987, aprĂšs la fin de la loi martiale Ă TaĂŻwan, tombent fous amoureux lâun de lâautre en dĂ©pit du climat hostile qui les enveloppe. En effet, Ă TaĂŻwan, surtout dans les annĂ©es 1980, il nâest pas bien vu dâĂȘtre gay. Dans un contexte dâhomophobie abominable, envers et contre toute pression dâune famille comme de lâautre, ces deux hommes vont sâaimer trĂšs fort. Un film portĂ© par Edward Chen et Chin-Hua Tseng devant lequel on vous met au dĂ©fi de ne pas pleurer toutes les larmes de votre corps ni dâavoir les papillons dans le bas ventre. Voir Ton nom en plein cĆur sur Netflix Call Me By Your Name, de Luca Guadagnino Italie. ĂtĂ© 1983. Un jeune homme passe ses journĂ©es dans la demeure familiale, sorte de villa du XVIIĂšme siĂšcle perdue dans les pins parasols. Elio Perlman a 17 ans ; il aime lire, flirter avec son amie Marzia, Ă©couter et jouer de la musique classique. Elio a les boucles romantiques ; chez lui, on parle anglais, italien et français. Fils dâun professeur de culture grĂ©co-romaine, et dâune Ă©minente traductrice, il a reçu une trĂšs bonne Ă©ducation et dispose dâune grande culture gĂ©nĂ©rale. Autant dâatouts qui font de lui un garçon charmant, et surtout trĂšs mĂ»r pour son Ăąge. Un jour, Oliver, un AmĂ©ricain aux qualitĂ©s physiques indĂ©niables, vient travailler auprĂšs du pĂšre dâElio pour prĂ©parer son doctorat. Entre les deux corps rĂ©chauffĂ©s par le soleil sec de lâItalie, le dĂ©sir monte⊠Call Me By Your Name est un rĂ©cit initiatique nĂ© de la plume de James Ivory Chambre avec vue et Luca Guadagnino A Bigger Splash. Une sorte de PremiĂšre Ăducation sentimentale, Ă la Flaubert, tellement brĂ»lante que les draps sâen souviennent sorry. Car Oliver et Elio vont sâaimer partout et tout le temps, sans se poser beaucoup de questions. Un film qui a sans doute Ă©chauffĂ© plus dâun corps depuis sa sortie en 2018 â bien que depuis, lâun de ses deux acteurs principaux, Armie Hammer, est au cĆur dâune affaire ultra-malsaine de harcĂšlement sexuel et de cannibalisme⊠Voir Call Me By Your Name sur Netflix Friends with benefits, de Will Gluck Ce sont Justin Timberlake et Mila Kunis qui se partagent lâaffiche de ce succĂšs commercial sorti en France en 2011. Les deux sex-symbols incarnent Ă merveille des cĂ©libataires avides de lĂ©gĂšretĂ© dans un New York chaud et branchĂ©. Jamie est chasseuse de tĂȘtes et veut recruter Dylan, un directeur artistique de Los Angeles. Tous deux sâaperçoivent vite quâils sont sur la mĂȘme longueur dâonde déçus par lâamour, ils veulent rester seuls mais sâamuser tout de mĂȘme au lit. En expĂ©rimentant donc le sexe entre amis », ces deux cĂ©libataires sans attache essaient de sâĂ©viter une dĂ©ception amoureuse. Mais sauront-ils rester fidĂšles Ă leur contrat de dĂ©part ? RĂ©ponse sur Netflix. Regarder Friends With Benefits sur Netflix Amar, de Esteban Crespo Ce joli film espagnol Netflix emmenĂ© par Pol Monen et Greta FernĂĄndez tape juste et fort en combinant Ă©lĂ©gance, romantisme et tension sexuelle. Amar, câest lâhistoire de Laura et Carlos qui vivent leur toute premiĂšre idylle, entre passion et petites contrariĂ©tĂ©s. La naissance de cette relation, avec tout ce que celle-ci implique, est touchante, sensuelle et assez proche du souvenir quâon a de nos premiĂšres amours. Tout simple, mais trĂšs chaud, Amar devrait vous faire passer un trĂšs bon moment, tout en sucre et en salive. Regarder Amar sur Netflix Ă lire aussi LâArnaqueur de Tinder va vous faire redouter votre prochain rencard
Surnotre site AFFICHES-ANCIENNES nous vous présentons une sélection de reproductions de publicités anciennnes. Ces reproductions de vieilles affiches sont au format: 40 x 60 cm, 50 x 70 cm, 60 x 80 cm le blanc tournant est de 2
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Accueil/1960-1980 lâĂąge dâor des cinĂ©mas de Paris. Voir l'image agrandie 1960-1980 lâĂąge dâor des cinĂ©mas de Paris. Paris et ses cinoches, câest une histoire que tout parisien peut raconter! Les cinĂ©mas de la capitale en ont vu passer des enfants, des adolescents qui sont aujourdâhui devenus des adultes et qui se rappellent leurs Ă©motions devant le grand Ă©cran⊠propose des tĂ©moignages de cinĂ©philes qui nous font partager leurs souvenirs. Nous avons rencontrĂ© Marc Montezin, photographe, qui Ă©voque ces cinoches et ses souvenirs de spectateur parisien depuis les annĂ©es 1960 jusquâĂ nos jours. Les annĂ©es 1980 sont peut-ĂȘtre celles qui ont connu le plus de fermetures dĂ©finitives de cinĂ©mas Ă Paris. Elles marquent la fin dâune Ă©poque oĂč le cinĂ© du coin, pas toujours avenant, proposait des films en exclusivitĂ©, mais aussi des films de genre arts martiaux, films dâactions, films de vampires et autres sĂ©ries B. Marc a connu ces salles atypiques et parfois oubliĂ©es. RENCONTRE AVEC MARC MONTEZIN, PHOTOGRAPHE ET CINĂPHILE Paris comptait un important nombre de cinĂ©mas dans les annĂ©es 1960-1970, souvent concentrĂ©s dans un mĂȘme quartier. Quel quartier frĂ©quentiez-vous? Jâhabitais le 15Ăšme arrondissement de Paris. Mon quartier possĂ©dait peu de cinĂ©mas Ă part ceux concentrĂ©s autour de la place de la Convention oĂč jâallais avec mes parents le GAUMONT et le MAGIC qui est devenu lâUGC CONVENTION et est depuis dĂ©truit. Encore maintenant, je me rappelle tous les films vus en fonction des salles! De temps en temps, je frĂ©quentais le KINOPANORAMA, le CAMBRONNE ou LE NOUVEAU THĂĂTRE dans ce dernier, des films en cinĂ©rama Ă©taient projetĂ©s comme Grand Prix » John Frankenheimer â 1966. Le jeudi aprĂšs-midi â câĂ©tait le jour oĂč on nâallait pas Ă lâĂ©cole â la programmation Ă©tait destinĂ©e aux familles. En cachette, jâallais au SĂVRES-PATHĂ, mon Ă©cole Ă©tant Ă proximitĂ©. Il y avait dans ce cinĂ©ma un programme unique, dâune longue durĂ©e. Ma mĂšre travaillait dans le quartier. Nous dĂ©jeunions ensemble et, aprĂšs mâavoir donnĂ© 5 francs, je courais au cinoche sans lui dire! Dans le mĂ©tro, je rentrais, la tĂȘte pleine dâimages, espĂ©rant arriver avant elle ! Dans mon enfance, la sĂ©ance de cinĂ©ma Ă©tait un spectacle Ă elle toute seul! Avant le film, des dessins-animĂ©s Ă©taient projetĂ©s. Puis un reportage ou un court-mĂ©trage et enfin les publicitĂ©s. Une bonne heure Ă©tait dĂ©jĂ passĂ©e avant quâenfin le film soit projetĂ© sur lâĂ©cran. Et ce nâĂ©tait pas toujours un film rĂ©cent jâai vu Le Capitan » AndrĂ© Hunebelle â 1960, La mĂ©lodie du bonheur » Robert Wise â 1965, Le Petit baigneur » Robert DhĂ©ry â 1968, Le Bossu » AndrĂ© Hunebelle â 1959, Alexandre le bienheureux » Yves Robert â 1967, etc. Quelles Ă©taient les conditions de projection dans ces cinĂ©mas? Câest vrai quâil fallait bien choisir sa place! Quand le film commençait, on entendait souvent le bruit des siĂšges, leur bruyant claquement de fermeture, dĂ» aux spectateurs quand ils changeaient de places! Les chapeaux des spectateurs qui gĂȘnent pendant le film, ce nâest pas de mon Ă©poque. Cependant, on regardait tout de mĂȘme oĂč on sâasseyait, en vĂ©rifiant sâil nây avait pas une personne de grande taille devant soi! Pour le confort de lâassise, nos genoux Ă©taient vraiment collĂ©s au dos du fauteuil de la personne de devant. On pouvait sentir dans le dos les genoux de la personne derriĂšre⊠De temps en temps, il arrivait que le film sâarrĂȘte. La salle se rallumait, on attendait et on dirigeait nos regards vers la lucarne du fond, lĂ oĂč se trouve la cabine de projection oĂč on voyait sâactiver le projectionniste. Une fois, au MAILLOT-PALACE, jâai assistĂ© Ă une projection durant laquelle la pellicule prit feu! Nous Ă©tions dans les annĂ©es 1974-75 et le film projetĂ©, sorti quelques annĂ©es plus tĂŽt, Ă©tait Il Ă©tait une fois dans lâouest » Sergio Leone â 1968. Durant la longue scĂšne du dĂ©but, lors de lâarrivĂ©e du train en gare, le film brĂ»la Ă trois reprises! La bobine avait dĂ» faire le tour de France pour en arriver-lĂ ! Je me souviens que toute la salle riait aux Ă©clats Ă force dâinterruptions ! A contrario, il y avait des cinĂ©mas plus luxueux comme LES PORTIQUES devenu le GEORGE V, sur lâavenue des Champs-ElysĂ©es, qui possĂ©dait les meilleures copies et proposait une qualitĂ© de projection optimale. Le REX, bien entendu, ainsi que le BRETAGNE avec sa grande salle panoramique Ă©taient des cinĂ©mas confortables. Jâai mĂȘme connu lâEMPIRE, avenue de Wagram quelle grandeur ! En parlant de splendeur, le GAUMONT-PALACE restera Ă jamais gravĂ© dans ma mĂ©moire jây suis allĂ© Ă deux reprises seulement, accompagnĂ© de mes parents. Câest le seul cinĂ©ma de mon enfance qui projetait des films en version originale sous-titrĂ©e en français. Jây ai vu la retransmission des jeux Olympique de Mexico en 1968 et Les Cheyennes » John Ford â 1964. JâĂ©tais bouche-bĂ©e. Ci-dessus La façade du Gaumont Richelieu au 27 boulevard PoissonniĂšre Ă Paris. Les cinĂ©mas de lâĂ©poque Ă©taient bien ancrĂ©s dans leur quartier⊠Jâai franchi la frontiĂšre du 15Ăšme de mon enfance et ai dĂ©couvert dâautres salles de cinĂ©ma pour aller voir encore plus de films, toujours au mĂȘme prix. Jâai connu les CINĂAC et autres SPLENDID. Rue de la GaĂźtĂ©, dans le 14Ăšme arrondissement, le SPLENDID-GAĂTĂ Ă©tait mon cinĂ©ma de prĂ©dilection. CâĂ©tait un cinĂ©ma permanent, on pouvait voir des films autant de fois quâon le souhaitait, jusquâĂ trois films dâaffilĂ©e! Il y avait de ce fait beaucoup de va-et-vient de personnes qui rentraient et sortaient de la salle. Pour ma part, jâarrivais Ă 14h et je sortais du cinĂ©ma Ă 18h. Ce cinĂ©ma proposait une programmation assez insolite Les lumiĂšres de la ville » Charles Chaplin â 1931 suivi des Baroudeurs » Peter Collinson â 1970, Jour de FĂȘte » Jacques Tati â 1949 suivi de Scorpio » Michael Winner â 1973. En rĂ©alitĂ©, la programmation mâimportait peu⊠JâĂ©tais un tel habituĂ© que la caissiĂšre me gardait les affiches des films ! Il y avait une vraie vie dans ces cinĂ©mas permanents des couples dâamoureux qui sâembrassaient plus quâils ne regardaient le film, des personnes qui dormaient, etc. Dans les quartiers proches des gares ferroviaires, les cinĂ©mas permanents, qui sont tous devenus des cinĂ©mas pornos par la suite, Ă©taient de vĂ©ritables fourmiliĂšres humaines! Un genre de film particulier Ă©tait-il programmĂ© dans certains cinĂ©mas? Jâai frĂ©quentĂ© le CINĂAC-ITALIENS dans le quartier de Richelieu-Drouot ce cinĂ©ma programmait des rĂ©trospectives de grands films populaires. Je me souviens de festivals James Bond », de films avec lâacteur le plus populaire de lâĂ©poque, Charles Bronson, de sĂ©ries de lâInspecteur Harry, de classiques du western, des films avec Alain Delon et Jean-Paul Belmondo, dâune sĂ©rie des Trois Mousquetaires, etc. GrĂące Ă ces deux films au mĂȘme programme, on pouvait voir les grandes sagas en une fois, comme aujourdâhui avec les DVD. Je me rappelle quâil y avait deux films au programme deux films avec Clint Eastwood LâInspecteur Harry » Don Siegel â 1971 suivi de Magnum Force » Ted Post â 1973 ; James Bond contre le Docteur No » Terence Young â 1962 suivi de Bons baisers de Russie » Terence Young â 1963; Borsalino » Jacques Deray â 1970 suivi de Borsalino & Cie » Jacques Deray â 1974, etc. Petit Ă petit, ces cinĂ©mas ont fermĂ© les uns aprĂšs les autres, ou bien se sont reconvertis dans le porno. Il restait tout de mĂȘme lâincrevable CHAMPO, dans le Quartier Latin. Je frĂ©quentais aussi les cinĂ©mas ACTION, toujours dans le Quartier Latin, ainsi que la CINĂMATHĂQUE FRANĂAISE qui Ă©tait Ă lâĂ©poque situĂ©e au Palais de Chaillot, derriĂšre le MusĂ©e de lâHomme dans le 16Ăšme arrondissement. Il y avait des cinĂ©mas plus chics comme le BONAPARTE, place Saint-Sulpice jâai assistĂ© Ă un passionnant dĂ©bat avec Claude Sautet Ă propos de son film Classe tous risques » 1960. Jâai Ă©galement frĂ©quentĂ© LA PAGODE, cinĂ©ma insolite dâarchitecture chinoise ainsi que LA ROTONDE, sur le boulevard du Montparnasse. Dans ce dernier, il Ă©tait autorisĂ© de fumer dans la salle, ce qui Ă©tait franchement dĂ©sagrĂ©able, parole de fumeur ! Le KINOPANORAMA mâa beaucoup marquĂ© la queue arrivait frĂ©quemment jusquâĂ la bouche du mĂ©tro. Les grandes sagas hollywoodiennes faisaient le plein Autant en emporte le vent » Victor Fleming â 1939, bien sĂ»r mais aussi Lawrence dâArabie » David Lean â 1962, La CanonniĂšre du Yang-TsĂ© » Robert Wise â 1966, La ConquĂȘte de lâouest » John Ford, Henry Hathaway, George Marshall â 1962, etc. Tous ces grands films avec entre-acte Ă©taient jouĂ©s au KINO. Plus tard, jây ai vu LâAnnĂ©e du Dragon » Michael Cimino â 1985 ou Le Grand Bleu » Luc Besson â 1988. Selon moi, le KINO faisait partie des plus belles salles de cinĂ©ma de Paris. Les annĂ©es 1990 et 2000 voient une restructuration des salles concentration, modernisation, etc.. Le spectateur a-t-il gagnĂ© au change? Il est indĂ©niable que la qualitĂ© des projections dans les salles de cinĂ©ma actuelles est nettement supĂ©rieure Ă ce qui existait auparavant. Dans les annĂ©es 1970, on a assistĂ© Ă la prolifĂ©ration de multisalles la grande salle originelle Ă©tait compartimentĂ©e en plusieurs salles. Les salles sont devenues toutes petites et franchement pas confortables. Il y avait parfois des salles dâune capacitĂ© de seulement 40 Ă 50 fauteuils ! Souvent, on Ă©tait placĂ© beaucoup trop prĂšs de lâĂ©cran et la qualitĂ© de la pellicule laissait Ă dĂ©sirer. Les spectateurs rĂąlaient beaucoup. MĂȘme la qualitĂ© de la tĂ©lĂ©vision actuelle est bien meilleure que dans ce genre de cinĂ©mas dâalors! Cerise sur le gĂąteau, il Ă©tait parfois plus facile et moins cher de rentrer par la sortie du cinĂ©ma ! Les cinĂ©mas actuels sont bien plus confortables, câest certain. Que vous inspirent les multiplexes ? Comment le photographe que vous ĂȘtes les perçoit-il? Selon moi, un beau cinĂ©ma avec des lettres qui brillent, ça fait rĂȘver ! Ces gros cubes laids ne me font pas du tout rĂȘver. Je pense avoir rĂ©sumĂ© mon point de vue sur le multiplexe ! OĂč sont donc passĂ©es les belles façades de cinĂ©ma comme celle du PARAMOUNT OPĂRA ou du GRAND REX quand on les compare avec les multiplexes dâaujourdâhui? OĂč sont les belles et grandes devantures qui Ă©taient placardĂ©es dâaffiches, parfois de vĂ©ritables chefs dâĆuvres dâillustrateurs, qui nous faisaient tant rĂȘver? Parfois, des ajouts rendaient lâaffiche trĂšs commerciale comme pour la premiĂšre fois Ă lâĂ©cran », Qui a tuĂ© âŠ? » ou Bronson dans la mafia » pour illustrer un titre de film avec lâicĂŽne du film dâaction amĂ©ricain. Copyright Sur le mĂȘme thĂšme Souvenirs de cinĂ©mas disparus Ă travers lâoeil dâun photographe Interview TĂ©moignage Jâai frĂ©quentĂ© les salles de cinĂ©ma porno⊠» Articles similaires 4 Comments Guy MARTIN 2 novembre 2019 Ă 13 h 07 min Jâai connu les Grands Boulevards entre 1955 et 1959, surtout Bonne-Nouvelle, Saint-Denis et Saint-Martin. Je me souviens du Neptunia, du PathĂ©-Journal, du Far West, de lâEldorado et du Brady, mais je ne retrouve pas les noms de tous les autres si quelquâun a la liste oĂč le jeudi et le dimanche on pouvait voir que des films dâaventures amĂ©ricains Ă lâapogĂ©e du technicolor. P. Bohbot 12 juin 2016 Ă 21 h 19 min Ătant Ăąge de 58 ans et passionnĂ© de cinĂ©ma jâai des souvenirs de ces salles superbes, hĂ©las mille fois hĂ©las disparues! Si je me rappelle bien les portes du CINEAC Italiens Ă©taient noires avec des cercles en verre. Je ne me souviens plus de lâintĂ©rieur. Jâai connu le FAR-WEST boulevard Saint-Martin Paris 3 oĂč on passait des westerns spaghetti et aussi amĂ©ricains, des pĂ©plums⊠Le cinĂ©ma CINEX bld de Strasbourg, lâELDORADO Ă cĂŽtĂ© qui est maintenant un théùtre. Bien sĂ»r les salles comme le BARBIZON, le mythique GAUMONT-PALACEâŠCâĂ©tait le temps ou il y avait des ouvreuses, des documentaires. Je regrette qui il n y ait plus de cinĂ©mas comme ça. Pourquoi ne pourrait-on pas les recrĂ©er? Câest comme si faire le remake dâun film, ça serait magnifique! Merci cela me rappel des bons souvenirs [âŠ] Interview flash-back sur les cinĂ©mas du Paris des annĂ©es 1960-1980 [âŠ]
CinéRessources - La CinémathÚque française - Collection des affiches - Les vieux de la vieille - René Ferracci (affichiste) - Vanni Tealdi (affichiste) - France - Affiche de film - Offset - Coul. - Les vieux de la vieille - Gilles Grangier - 1960 - Paris : Bedos (impr.)
Merlinl'enchanteur. (1963) de Wolfgang Reitherman. Film d'animation | 1h19. 68% 92 micro-critiques | Sa note : henri109. â Ce film est tous de la magie,c'est la magie qui enchante DISNEY qui fait rire tous les enfants et mĂȘmes les adultes. â â henri109 11 avril 2015.
LesVieux de la vieille. (1960) Gilles Grangier. Pays de production. France ; Italie. Sortie en France. 02 septembre 1960. Distributeur. Tamasa Distribution (source : ADRC) >> Rechercher "Les
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affiche film les vieux de la vieille